Cinq jours de plus à Sénégal…
Je ne pouvais pas décider de partir, nettoyer la petite maison, emballer et considère les jours derniers, les actualités du village.
Beaucoup des habitants viennent quotidiennement chez nous pour un souhait de bienvenue, parler, une question…
– Une femme solide, avance péniblement avec un bâton trouvé. Soufflante, le front suant et des joues rouges de la fièvre elle s’assoit près de moi. Elle montre sa jambe, la jupe remonté: du pus dans les blessures. La charrette chargé trop lourd, ou elle était assis, fait tomber dans le fossé. Avec sa jambe blessé elle marchait plus de 9 kilomètres au village. Je fais un pansement sur les blessures, donne des antalgiques et appelle un des garçons fort du village, qui la prend sur le dos vers le chemin. Ils vont ensembles à l’hôpital.
– Du feu dans une cabane, un enfant mort de deux ans, un père éperdu.
– Une jeune fille déformé par le feu brûlant, ne répond plus et reste chez soi.
Le jour de mon départ – c’est cinq heures routes mauvaises- j’entends en route le message de l’éruption du feu et du cendre en Islande.
Le prochain jour quand je suis retourné à la maison j’entend de la bonne nouvelle : les médecins ont décidés que la jambe du femme ne soit pas amputé et qu’elle peut marcher en quelques semaines autour de sa cabane. Le garçon fort a décidé d’instruire des enfants handicapés à nager et surtout en offrant des jolies moments dans l’eau.
Retourné au village: la indécision sur le départ était correct, seulement, je ne pouvais pas présumer la cause…